Le professeur Dave Blackburn, chercheur dans le domaine de la santé mentale et directeur du Département de travail, souligne les failles qui ont mené au décès de Marylène Lévesque et estime que le gouvernement fédéral a sa part de responsabilité.
Dans une lettre d’opinion qu’il signe et qui a attiré l’attention des médias, le professeur Blackburn explique que le gouvernement fédéral a pris la décision, en 2016 et 2017, de modifier le processus de libération conditionnelles du Canada.
Ces changements ont eu des impacts majeurs sur le fonctionnement de la Commission des libérations conditionnelles du Canada, sur la perte d’expertise, de connaissances et d’expérience des commissaires, sur le manque d’encadrement en audience par des commissaires d’expérience, sur le climat de travail au sein de l’organisation et sur le surmenage des commissaires et du personnel, écrit Dave Blackburn.
Spécialiste de la santé mentale chez les militaires et les anciens combattants, monsieur Blackburn a aussi occupé le poste de commissaire à la Commission des libérations conditionnelles du Canada.
Son analyse a été publiée dans plusieurs grands quotidiens du pays. Il a également été interviewé à l’émission de télé de Mario Dumont, sur les ondes de LCN, et par Paul Arcand, à la radio du 98,5 FM à Montréal.
- Analyse dans Le Droit du 27 janvier 2020
- Entrevue à l’émission de Mario Dumont
- Entrevue avec Paul Arcand, au 98,5 FM
- Chronique de La Presse +
- Article de La Presse
- Lettre d’opinion Le Devoir
- Reportage Radio-Canada
- Reportage de la CBC
Source :
Service des communications
UQO, 28 janvier 2020
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