Les programmes du réseau de l’Université du Québec sont développés dans le cadre d’une démarche d’évaluation continue qui en assure la qualité. Tous les programmes sont reconnus par le gouvernement du Québec et certains sont par ailleurs accrédités par des organismes externes. Les établissements les évaluent périodiquement afin de répondre aux besoins changeants de la société. Cette démarche est la garantie pour leurs étudiants d’une formation rigoureuse, adaptée et conviviale leur permettant d’intégrer facilement le marché du travail.
Des programmes appréciés
Les étudiants de l’Université du Québec se montrent très satisfaits de leur établissement universitaire, comme l’indiquent les résultats des sondages effectués par le National Survey of Student Engagement (NSSE), en 2014, et le Canadian Graduate and Professional Student Survey (CGPSS), en 2013.
Ainsi, 86 % des finissants au baccalauréat choisiraient le même établissement, si c’était à refaire, soit un résultat supérieur à celui observé chez leurs homologues des autres universités québécoises et canadiennes. Quant aux étudiants de la maîtrise et du doctorat, ils présentent un niveau de satisfaction tout aussi enviable que celui des étudiants des établissements ailleurs au Québec ou au Canada.
Des programmes qui mènent à la réussite
Les établissements de l’Université du Québec se positionnent très bien en matière de réussite étudiante dans le contexte nord-américain. Pour la cohorte étudiante la plus récente, le taux de diplomation au baccalauréat à temps complet est en effet équivalent à la moyenne canadienne (72%) et supérieur à celle des États-Unis (61%) (selon l’enquête du Consortium for Student Retention Data Exchange (CSRDE), à laquelle participent quelque 400 établissements nord-américains).
Des programmes pertinents
Deux ans après l’obtention de leur diplôme de baccalauréat, 87% des diplômés des établissements de l’Université du Québec occupent un emploi à temps plein et, pour 84% d’entre eux, cet emploi est en lien avec leur formation. Chez les diplômés de la maîtrise, 92% travaillent à temps plein et, pour 83% d’entre eux, ce travail est en lien avec leur formation.