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Bureau de prévention et de résolution du harcèlement de l’ÉTS - Bilan d’une première année de mise en place

2018-11-01

Le Bureau de prévention et de résolution du harcèlement (BPRH) de l'ÉTS a publié son premier rapport annuel depuis sa création en juillet 2017. Ce rapport dresse un portrait des mesures mises en place jusqu’à ce jour afin de prévenir et de résoudre le harcèlement sur le campus de l’École.

Le harcèlement psychologique et les violences à caractère sexuel sont des sujets incontournables et prioritaires pour l’ÉTS. En effet, la première année d’activité du Bureau a été consacrée à la mise en place d’une démarche de signalements et de plaintes, à la révision de la Politique pour un milieu de travail, d’études et de vie respectueux et exempt de harcèlement, à la tournée des différents services et départements et à diverses interventions afin de répondre aux demandes des membres de la communauté universitaire

Grâce aux interventions du BPRH, la communauté universitaire est davantage en mesure de reconnaître ces enjeux, de dénoncer ces comportements et de mettre en place des moyens afin de les prévenir. 

Faits saillants

  • 94 dossiers de signalement ont été ouverts au cours de l'exercice. La majorité des personnes requérantes (67) ont privilégié une démarche informelle (coaching, résolution de conflit), 4 se sont désistées, et 25 personnes ont choisi de porter plainte.
  • Sur les 25 plaintes déposées, 21 ont été jugées recevables. Quinze ont été réglées par un mécanisme autre que l’enquête et se sont conclues par une entente entre les parties.
  • Au final, il y a eu enquête dans 6 dossiers, et deux plaintes ont été jugées fondées. Ces deux plaintes concernaient des motifs d’harcèlement psychologique.


L’approche du BPRH
Le BPRH privilégie une approche proactive, axée sur la résolution de problème et sur la prévention de la violence et du harcèlement. Différentes démarches sont proposées afin de trouver des solutions aux difficultés vécues, afin de les régler, de prévenir l’aggravation et la récidive. Il est également possible de déposer une plainte de harcèlement psychologique ou de violence à caractère sexuel. Le Bureau met alors en place une démarche formelle d’enquête afin d’évaluer s’il y a bel et bien eu du harcèlement et, le cas échéant, pour le faire cesser.

La confiance accordée au BPRH est importante. Cela semble rassurer que le Bureau relève du conseil d’administration de l’ÉTS. On y voit une plus grande indépendance, objectivité et neutralité.

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Source :
Sébastien Langevin
Conseiller en communication - ÉTS
514 396-8664

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Mise à jour: 23 mars 2023