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Des appuis de taille pour les professeurs Élise Filotas et Nicolas Bélanger

Les professeurs Élise Filotas et Nicolas Bélanger, tous deux du Département ST et membres du Laboratoire sur la science des données, font partie de trois équipes de recherche ayant reçu des appuis de taille du Fonds de recherche du Québec – Nature et technologies et du ministère de la Forêt, de la Faune et des Parcs. 

Les subventions sont chacune d’une valeur d’un million de dollars et sont échelonnées sur une période de trois ans. Les fonds ont été octroyés via le Programme de recherche en partenariat sur la contribution du secteur forestier à l’atténuation des effets des changements climatiques. Ce programme est financé par le Fonds d’électrification et des changements climatiques, et répond à un objectif du Plan pour une économie verte 2030 du gouvernement du Québec, soit d’accroître les connaissances scientifiques en ce qui a trait au stockage du carbone par les forêts, les répercussions des changements climatiques sur les forêts et les interrelations entre la forêt et ses produits.

Dans le cadre de leurs activités au sein de ces équipes, les professeurs Filotas et Bélanger superviseront deux doctorants et deux étudiants à la maitrise. Élise Filotas travaillera sur des modèles de simulations permettant la prise en compte des effets conjoints de l’aménagement forestier, des perturbations naturelles et des changements climatiques sur le cycle du carbone, alors que Nicolas Bélanger se penchera sur la quantification des stocks de carbone dans les plantations et les milieux humides ainsi que les variations de l’albédo (forçage radiatif) de différents couverts forestiers.

Les trois projets seront dirigés par les professeurs Evelyne Thiffault (Université Laval), Mathieu Bouchard (Université Laval) et Frédérik Doyon (UQO), et sont soutenus par des chercheurs de l’Université Laval, de l’UQO, de l’UQAM, de l’UQAC, de l’UQAT et de laboratoires des gouvernements fédéral et provincial.

« Par l’entremise de ces projets, nous aurons une bien meilleure idée des stratégies sylvicoles à privilégier dans les forêts québécoises afin de réduire l’empreinte carbone de la province et ainsi limiter le plus possible les impacts de nos activités sur le climat de demain » a ajouté Nicolas Bélanger.

Source :
Service des communications et des affaires publiques
TÉLUQ, 22 novembre 2021

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