2018-05-07

Les professeurs Marie-Soleil Tremblay et Pier-André Bouchard St-Amant exposent les grands enjeux d'actualité et leur influence sur les finances publiques du Québec et du Canada.
Le 4 mai dernier, des représentants de la Commission des Finances du Sénat français et du Consulat de France étaient au campus de Québec de l’ENAP afin de rencontrer des spécialistes en finances publiques. L’objectif poursuivi était d'éclairer les choix faits en matière budgétaire et fiscale (évolution des effectifs et des profils recrutés, management par la performance, etc.).
Ils ont été accueillis par le directeur général, Guy Laforest et par la directrice par intérim de la Direction de l’enseignement et de la recherche, Juliette Champagne.
Les membres de la délégation ont par la suite échangé avec les professeurs Marie-Soleil Tremblay et Pier-André Bouchard St-Amant autour des grands enjeux actuels de nos finances publiques, dont notamment : l’effort de réduction des dépenses du gouvernement provincial, la redistribution des dépenses fédérales d’est en ouest, le bas taux de chômage versus la capacité de l’administration publique à retenir son personnel, les élections provinciales, le redéploiement des dépenses pour stimuler la demande, la politique monétaire, les bas taux d’intérêt, les taux d’imposition, le Fonds des générations, le protectionnisme américain, etc.
Cette rencontre qui s’inscrivait plus largement dans leur travail d’information sur l’interaction entre l’administration, les citoyens et les entreprises, a donné lieu à des échanges fort intéressants, notamment en matière fiscale.
Ils ont été accueillis par le directeur général, Guy Laforest et par la directrice par intérim de la Direction de l’enseignement et de la recherche, Juliette Champagne.
Les membres de la délégation ont par la suite échangé avec les professeurs Marie-Soleil Tremblay et Pier-André Bouchard St-Amant autour des grands enjeux actuels de nos finances publiques, dont notamment : l’effort de réduction des dépenses du gouvernement provincial, la redistribution des dépenses fédérales d’est en ouest, le bas taux de chômage versus la capacité de l’administration publique à retenir son personnel, les élections provinciales, le redéploiement des dépenses pour stimuler la demande, la politique monétaire, les bas taux d’intérêt, les taux d’imposition, le Fonds des générations, le protectionnisme américain, etc.
Cette rencontre qui s’inscrivait plus largement dans leur travail d’information sur l’interaction entre l’administration, les citoyens et les entreprises, a donné lieu à des échanges fort intéressants, notamment en matière fiscale.
Source :
Service des communications
ENAP, 7 mai 2018
Service des communications
ENAP, 7 mai 2018