2017-09-27
La professeure Marie-Christine Therrien a récemment reçu deux subventions du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) du Canada totalisant près de 67 000 $ pour des recherches portant sur la résilience urbaine.

Marie-Christine Therrien
Dans le cadre du programme Synthèse des connaissances (monde interconnecté), son projet de recherche « Obstacles et leviers en matière de résilience urbaine » a reçu 24 960 $ pour une année.
« Une meilleure gouvernance de la résilience urbaine sauvera des vies, protégera l’environnement et réduira les pertes économiques, a mentionné la professeure Therrien. En outre, elle favorisera l’innovation et l’apprentissage, ce qui nous aidera à faire face aux nouvelles difficultés et à réduire la vulnérabilité future. »
Avec la multiplication des catastrophes d’origine aussi bien naturelle qu’anthropique, le concept de résilience urbaine gagne en effet en popularité, mais les municipalités peinent à l’appliquer en raison des modifications substantielles que cela exigerait sur le plan de la gouvernance de l’administration publique.
L’équipe de chercheurs travaillera avec des spécialistes des questions urbaines de partout au Canada, ainsi qu’avec l’équipe Knowledge and Impact du programme des 100 villes résilientes (piloté par la Fondation Rockefeller), afin que les constatations de cette synthèse des connaissances puissent donner lieu à des outils pouvant servir à instaurer la résilience urbaine dans leur municipalité.
L’autre projet de recherche, « Co-constructing knowledge for urban resilience implementation », a pour sa part obtenu une subvention Connexion de 41 587 $. Marie-Christine Therrien le réalise avec Daniel Henstra de l’Université de Waterloo.
« Une meilleure gouvernance de la résilience urbaine sauvera des vies, protégera l’environnement et réduira les pertes économiques, a mentionné la professeure Therrien. En outre, elle favorisera l’innovation et l’apprentissage, ce qui nous aidera à faire face aux nouvelles difficultés et à réduire la vulnérabilité future. »
Avec la multiplication des catastrophes d’origine aussi bien naturelle qu’anthropique, le concept de résilience urbaine gagne en effet en popularité, mais les municipalités peinent à l’appliquer en raison des modifications substantielles que cela exigerait sur le plan de la gouvernance de l’administration publique.
L’équipe de chercheurs travaillera avec des spécialistes des questions urbaines de partout au Canada, ainsi qu’avec l’équipe Knowledge and Impact du programme des 100 villes résilientes (piloté par la Fondation Rockefeller), afin que les constatations de cette synthèse des connaissances puissent donner lieu à des outils pouvant servir à instaurer la résilience urbaine dans leur municipalité.
L’autre projet de recherche, « Co-constructing knowledge for urban resilience implementation », a pour sa part obtenu une subvention Connexion de 41 587 $. Marie-Christine Therrien le réalise avec Daniel Henstra de l’Université de Waterloo.
Source :
Service des communications
ENAP, 25 septembre 2017
Service des communications
ENAP, 25 septembre 2017