L'Université du Québec à Rimouski sera bien représentée au 7e Parlement mondial de la jeunesse pour l'eau, qui se tiendra à Daegu, en Corée du Sud, du 5 au 11 avril. Anne-Sophie Ste-Marie, étudiante à la maîtrise en gestion des ressources maritimes, sera la seule représentante québécoise pour cet événement qui réunit 100 jeunes provenant d'un peu partout sur la planète.
Mme Ste-Marie fera partie de la délégation nord-américaine qui compte également trois autres représentants canadiens et un états-unien. « Le Parlement mondial de la jeunesse pour l'eau, c'est un rendez-vous pour des jeunes étudiants qui sont impliqués concrètement dans leur milieu. On y fait du réseautage, on participe à des ateliers. Nous serons divisés en plusieurs comités et une déclaration sera composée pour être présentée au Forum mondial de l'eau, qui suivra du 12 au 17 avril », précise Anne-Sophie, titulaire d'un baccalauréat de l'Université de Montréal en biochimie et médecine moléculaire.
C'est à la suite de sa participation au Rassemblement continental 2014, tenu à Québec du 5 au 9 mai, que la jeune femme originaire de Longueuil a été sélectionnée pour le Parlement mondial. Pour déposer sa candidature, elle devait soumettre une lettre de motivation et construire un projet d'implication locale. « Dans le cadre de La semaine de la réduction des déchets, organisée par le Comité des étudiants de Rimouski pour l'environnement (CEDRE), j'ai tenu un kiosque d'information et nous avons lancé un sondage en ligne pour que l'UQAR se dote d'une nouvelle politique pour le retrait de la vente d'eau embouteillée sur le campus. Évidemment, c'est un long processus qui ne se fait pas du jour au lendemain et il est nécessaire de sonder la population étudiante », ajoute Anne-Sophie Ste-Marie, qui a découvert le Rassemblement continental et le Parlement mondial sur l'eau par le biais du directeur des programmes de cycle supérieurs en gestion des ressources maritimes, Claude Rioux.
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Sur la photo : Anne-Sophie Ste-Marie est étudiante à la maîtrise en gestion des ressources maritimes.
Source :
Service des communications, UQAR
31 mars 2015