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Gérer la forêt pour ce qu’on y prend ou pour ce qu’on veut y laisser?

2016-02-05

Si la forêt mixte semble la même d’un océan à l’autre, y aurait-il moyen de généraliser des approches sylvicoles pour l’ensemble du Canada?

En compagnie de la professeure Suzanne Brais, responsable de la maîtrise en biologie à l’Institut de recherche sur les forêts de l’UQAT, le professeur Brian Harvey, directeur de la Forêt d’enseignement et de recherche du lac Duparquet, a parcouru tout le pays pendant quelques mois afin d’évaluer une douzaine de dispositifs forestiers répartis entre le Québec et la Colombie-Britannique. Le 15 décembre, il a livré le fruit de ses travaux aux chercheurs et aux étudiants en foresterie de l’UQAT et du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue.

Sur quoi se baser?

Le duo s’est principalement concentré sur les peuplements mélangés similaires à ceux de l’Abitibi-Témiscamingue, où le peuplier faux-tremble constitue l’essence feuillue dominante. Les deux chercheurs voulaient examiner si la coupe à rétention variable n’était pas préférable à la coupe partielle.

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Source :
Patrick Rodrigue
La Frontière/Le Citoyen
18 décembre 2015

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Mise à jour: 27 mars 2023