Encore cette année, plusieurs Relais pour la vie se tiendront en Abitibi-Témiscamingue. Les comités organisateurs souhaitent amasser 340 000$, ainsi qu’augmenter le nombre d’équipes de participants et de survivants à ses événements en région. Johanne Jean, rectrice de l’UQAT, a accepté de devenir porte-parole régionale.

« La lutte contre le cancer nous touche tous et toutes, que ce soit de près ou de loin. Personnellement, j’ai eu la chance, car les personnes proches de moi qui ont reçu un diagnostic de cancer font partie des privilégiés, car ils sont parmi les survivants », a-t-elle souligné.
« Il faut toujours garder en tête que l’un des éléments expliquant cette victoire sur la maladie est la qualité de la recherche financée par la Société canadienne du cancer, qui permet entre autres l’arrivée de nouveaux traitements », a poursuivi Mme Jean.
La recherche augmente le nombre de survivants
En effet, 70 projets de recherche pour tous les genres de cancers sont financés par la Société canadienne du cancer. Pas moins de 7M$ ont été remis à la recherche dans les dernières années. Cela contribue grandement à diminuer le nombre de personnes décédées à la suite d’un cancer.
« Le but le plus important du Relais pour la vie, au-delà de la prévention, c’est la recherche. Il y a 20 ans, 25% des gens étaient sauvés après un diagnostic de cancer. Aujourd’hui, nous sommes rendus à 63%. Dans 15 ans, 80% des personnes avec un cancer seront sauvées. C’est une avancée immense que nous avons faite et c’est grâce à des gens qui participent au Relais pour la vie », a fait valoir Julie Cousineau, directrice du bureau régional de la Société canadienne du cancer.
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Source :
La Fronitère - Le Citoyen
16 mars 2016