La Chaire de recherche du Canada en cyberpsychologie clinique dirigée par le professeur Stéphane Bouchard de l’UQO, vient d’être renouvelée pour un montant de 1,4 million $.
La ministre des Sciences, l’honorable Kirsty Duncan, a annoncé, le vendredi 2 décembre 2016, l’attribution d’une somme de plus de 173 millions $ pour le financement de 203 chaires de recherche du Canada, qui sont réparties dans 48 établissements d’enseignement postsecondaire partout au pays et dont bon nombre sont nouvelles. La confirmation du renouvellement de la chaire du professeur Bouchard, pour une durée de sept ans, fait partie de cette annonce qui a eu lieu à l’Université de Toronto dans le cadre d’une conférence de presse nationale.

« Je tiens à féliciter chaleureusement tous les titulaires de chaire. Le gouvernement du Canada est fier d’appuyer des chercheurs de talent qui, par leur travail assidu, nous permettront d’approfondir les connaissances scientifiques et de consolider la réputation du Canada en ce qui concerne l’excellence en recherche. Les titulaires de chaire nous fourniront les données probantes nécessaires à la prise de décisions éclairées pouvant nous aider à établir une société dynamique et une classe moyenne forte », a déclaré la ministre Duncan, par voie de communiqué.
« Je suis bien content de pouvoir continuer de travailler à faire avancer les connaissances en cyberpsychologie avec une superbe équipe dans un milieu aussi extraordinaire que l’UQO », a déclaré de son côté, le professeur Stéphane Bouchard, du Département de psychoéducation et de psychologie.
Pionnier dans l’utilisation de la réalité virtuelle, le professeur Bouchard et son équipe effectuent entre autres des recherches sur le traitement des troubles d’anxiété et des problèmes de jeu pathologique. Ses travaux menés à l’UQO ont débuté en 1999. Qu’il s’agisse de la phobie des araignées ou des troubles de stress post-traumatique, il utilise le monde numérique de la voûte immersive de l’UQO qui est unique au monde.
Communiqué de la ministre Duncan
Source :
Service des communications
UQO, 2 décembre 2016