2018-10-15

Les liens sociaux qui sont développés avant une catastrophe permettent une bonne réaction de la population
Plusieurs recherches démontrent que l’un des facteurs déterminants pour le rétablissement à la suite d’une catastrophe n’est pas l’éducation ou les revenus des sinistrés, mais plutôt les liens sociaux qui ont été développés avant l’évènement.
Sur la base de ces recherches, le Cité-ID LivingLab de l’ENAP a récemment organisé un atelier de travail animé par un spécialiste de ce sujet, Daniel Aldrich, professeur de science politique de l’Université Northeastern de Boston, et par Marie-Christine Therrien, professeure à l’ENAP et directrice du Cité-ID. Cette initiative a permis à plus d’une trentaine de participants de neuf organisations partenaires de réfléchir au rôle du capital social et aux moyens de le développer.
Ces organisations partenaires sont : la Maison de l’innovation sociale, le Bureau de la résilience de la Ville de Montréal, la Biosphère, le YMCA du Québec, Transition NDG, le CDC Centre-Sud, l’Office municipal d’habitation de Montréal, l’Institut du Nouveau Monde et Médina Works.
Cet atelier s’inscrivait dans le cadre deux programmes de recherche-action menés par le Cité-ID, l’un portant sur la préparation aux catastrophes dans deux quartiers de Montréal et l’autre sur le développement du capital social chez des jeunes âgés de 14 à 17 ans. Ce programme est soutenu financièrement par la Maison de l’innovation sociale et le programme Mitacs.
Le Cité-ID LivingLab Gouvernance de la résilience urbaine est un laboratoire de recherche-action collaboratif regroupant les acteurs urbains (administrations publiques, organisations privées, OBNL et citoyens) et les chercheurs. Son objectif est de favoriser l’émergence de nouvelles approches sur la base des connaissances pour développer la résilience urbaine. Le Cité-ID est dirigé par la professeure Marie-Christine Therrien de l’ENAP. Il est financé par les Fonds de recherche du Québec, le ministère de la Sécurité publique et l’École nationale d’administration publique.
Sur la base de ces recherches, le Cité-ID LivingLab de l’ENAP a récemment organisé un atelier de travail animé par un spécialiste de ce sujet, Daniel Aldrich, professeur de science politique de l’Université Northeastern de Boston, et par Marie-Christine Therrien, professeure à l’ENAP et directrice du Cité-ID. Cette initiative a permis à plus d’une trentaine de participants de neuf organisations partenaires de réfléchir au rôle du capital social et aux moyens de le développer.
Ces organisations partenaires sont : la Maison de l’innovation sociale, le Bureau de la résilience de la Ville de Montréal, la Biosphère, le YMCA du Québec, Transition NDG, le CDC Centre-Sud, l’Office municipal d’habitation de Montréal, l’Institut du Nouveau Monde et Médina Works.
Cet atelier s’inscrivait dans le cadre deux programmes de recherche-action menés par le Cité-ID, l’un portant sur la préparation aux catastrophes dans deux quartiers de Montréal et l’autre sur le développement du capital social chez des jeunes âgés de 14 à 17 ans. Ce programme est soutenu financièrement par la Maison de l’innovation sociale et le programme Mitacs.
Le Cité-ID LivingLab Gouvernance de la résilience urbaine est un laboratoire de recherche-action collaboratif regroupant les acteurs urbains (administrations publiques, organisations privées, OBNL et citoyens) et les chercheurs. Son objectif est de favoriser l’émergence de nouvelles approches sur la base des connaissances pour développer la résilience urbaine. Le Cité-ID est dirigé par la professeure Marie-Christine Therrien de l’ENAP. Il est financé par les Fonds de recherche du Québec, le ministère de la Sécurité publique et l’École nationale d’administration publique.
Source :
Service des communications
ENAP, 12 octobre 2018
ENAP, 12 octobre 2018