Les recherches du professeur Wojtek Bock et son équipe dans les capteurs pour détecter la présence de bactéries et de produits chimiques nocifs attirent l’attention d’une société de renommée internationale.
L’Optical Society of America, une organisation centenaire reconnue mondialement, parle des recherches du professeur Bock dans son communiqué de presse intitulé New Sensor Could Help Fight Deadly Bacterial Infections (Un nouveau capteur pourrait aider à combattre les infections bactériennes mortelles).
L’article explique comment les nouvelles technologies développées par monsieur Bock et son équipe permettront notamment de détecter des bactéries nocives comme les cyanobactéries ou les E. Coli et ce, en moins de 20 minutes, comparativement aux méthodes actuelles qui nécessitent le déplacement des échantillons en laboratoire et des délais de plusieurs jours pour l’analyse.
« Le Optical Society of America est une grande organisation reconnue. Le fait qu’elle souligne nos recherches parmi les nombreux articles qu’elle reçoit, c’est vraiment important. Cette société a une visibilité internationale et cela nous donne une visibilité formidable », explique le professeur Bock.
On se souviendra qu’en mars 2016, le professeur Bock et son équipe du Centre de recherche en photonique de l’UQO ont obtenu une première chaire de recherche industrielle sur la détection de produits chimiques nocifs. Un montant de 1,85 million $ a été accordé par le gouvernement fédéral et une entreprise de Laval pour établir la Chaire de recherche SPI – CRSNG.
Grâce à l’appui du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et de la compagnie Sécurité et Protection Internationale (SPI) de Laval, le professeur Bock et son équipe poursuivront le travail amorcé depuis plusieurs années afin de compléter le développement de technologies photoniques de détection de produits dangereux.
Source :
Service des communications
UQO, 14 septembre 2016