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L’UQAR au cœur du développement durable du Nord

2017-09-18

L’Université du Québec à Rimouski se démarque par son expertise multidisciplinaire en nordicité. Depuis 25 ans, une quarantaine de chercheuses et de chercheurs s’intéressent aux enjeux liés au développement durable du Nord. Une masse critique qui fait de l’UQAR l’une des institutions universitaires les plus dynamiques sur le plan de la recherche à l’égard des questions liées aux environnements nordiques.


Photos : Nicolas Bradette

Spécialisés en biologie, en chimie, en géographie, en développement régional, en gestion, en sciences de la mer, en sciences de la santé et en génie, plusieurs professeures et professeurs de l’UQAR consacrent leurs recherches au développement environnemental et socioéconomique du Nord. Plus de 775 projets de recherche en lien avec la nordicité ont été réalisés au cours des cinq dernières années par des chercheuses et des chercheurs de l’Université.

« La nordicité est l’un des trois axes d’excellence de l’UQAR avec les sciences de la mer et le développement régional. Ces axes d’excellence favorisent les collaborations multidisciplinaires entre nos chercheuses et nos chercheurs et ceux d’autres institutions de recherche. Cette concertation de spécialistes d’horizons variés permet de répondre à des enjeux de plus en plus complexes, particulièrement en ce qui a trait au développement durable du Nord », indique le recteur, Jean-Pierre Ouellet.

L’expertise ainsi que la masse critique de l’UQAR à l’égard des questions liées au développement du Nord en a fait un membre incontournable du réseau ArcticNet, qui regroupe pas moins de 145 chercheuses et chercheurs du Canada. Représentant le deuxième plus important contingent de membres, la vingtaine de chercheuses et de chercheurs de l’Université du Québec à Rimouski sont particulièrement actifs dans ce réseau géré par l’Université Laval (UL) et dont la mission est de contribuer au développement et à la diffusion des connaissances sur l’Arctique.

L’UQAR est également très impliquée au sein du Centre d’études nordiques (CEN), un regroupement stratégique qui rassemble plus de 45 membres réguliers de l’UL, du Centre Eau, Terre et Environnement de l’Institut national de recherche scientifique (INRS), de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), de l’Université de Sherbrooke (UdeS), de l’Université de Montréal (UdeM), de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), de l’Université McGill, de l’Université Concordia et du Cégep F-X Garneau. Les chercheuses et les chercheurs de l’UQAR représentent encore une fois le contingent le plus nombreux après celui de l’UL, l’université qui gère le CEN.

« L’une des grandes missions du CEN est de favoriser le développement durable des régions nordiques par une meilleure connaissance des changements qui affectent ces environnements », mentionne le professeur Joël Bêty, directeur adjoint du CEN. « Les connaissances qui sont générées par la recherche servent à proposer des stratégies d’adaptation aux changements dans un contexte de réchauffement climatique et du développement socioéconomique accéléré en cours dans le Nord. »

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Source :
Jean-François Bouchard 
UQAR, 4 septembre 2017

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Mise à jour: 27 mars 2023