L’UQO | Campus de Saint-Jérôme a été l’hôte du 20e colloque annuel des étudiants de cycles supérieurs du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES) les 28 et 29 mars.
Près de 50 étudiants à la maîtrise et au doctorat se sont réunis lors de cet important événement stratégique regroupant neuf universités. Ce fut une heureuse occasion de faire connaître le campus de Saint-Jérôme et la région. Certains ateliers ont même eu lieu dans un chalet au cœur des Laurentides.
« Pour les participants, il s’agit d’un moment de partages de résultats de recherches. C’est essentiel pour l’avancement de leur carrière… ils font ainsi leur marque », lance avec enthousiasme Mélanie Bourque, professeure au Département de travail social à
Saint-Jérôme et responsable du pôle UQO du CRISES.
Des étudiantes à l’honneur
Pendant ce rassemblement, deux étudiantes de Saint-Jérôme ont fait des présentations. Il s’agit de Nathalie Bolduc qui s’est intéressée à l’intersectorialité dans le contexte de la Loi P38 (protection sur les personnes) et Mylène Barbe a renseigné l’auditoire sur la mobilisation des travailleuses sociales dans le cadre de la réforme. D’ailleurs, cette dernière a été récipiendaire de la Bourse Paul R. Bélanger décernée par le CRISES à deux étudiants de la maîtrise et du doctorat qui se sont distingués.
En plus de la classe de maître de la conférencière chevronnée de Marthe Nyssens de la Belgique, le colloque s’est terminé par l’importance de comprendre son univers et de construire son identité de chercheur.e.s par Nolywé Delannon. Les participants ont ainsi fait le plein de données de recherches, mais aussi créé des liens interuniversitaires.
Source :
Service des communications
UQO, 3 avril 2019