Savoir Affaires contribue à accroître la collaboration entre les établissements universitaires et les milieux des affaires, économique et de l’entrepreneuriat. Les 9 éditions ont mobilisé près de 1900 personnes.
Retombées
Un grand rassemblement
Chaque édition est possible grâce à l'implication et la participation de près de 200 personnes. En plus des 40 organisations partenaires et des nombreux collaborateurs et collaboratrices siégeant sur le comité des partenaires, le comité des thématiques et le comité de suivi, ce sont 1700 personnes qui se sont donnés rendez-vous lors des 8 premières éditions.
560 acteurs et actrices du milieu économique
690 gens d'affaires
24 membres des comités de jury
Augmentation de la diversification et du développement économique régionale
- 258 occasions d’affaires originales
- 44M$ d’investissement au total
- 6 projets sont actifs aujourd’hui et près d’une dizaine sont en prédémarrage
- 9 brevets provisoires déposés depuis 2017
- Environ 20 licences octroyées depuis 2016
- 43 projets en prédémarrage ou en démarrage d’entreprise par 69 promoteurs ou promotrices (dont le tiers étaient des personnes étudiantes)
Création d'emplois
- 223 emplois directs et une quinzaine d’emplois indirects créés
- une centaine d’expériences d’insertion professionnelle offertes à des personnes en difficulté
- une douzaine de personnes étudiantes stagiaires (maîtrise, doctorat et postdoctorat) ont été intégrés aux 43 projets développés
Augmentation de l’étendue des compétences étudiantes
Compétences entrepreneuriales bien développées auprès des personnes étudiantes participantes:
- Perception d'un besoin
- Travail d'équipe
- Élaboration d'un plan d'affaires
Rapprochement et collaboration entre les milieux
De nouveaux liens entre les personnes participantes, organisatrices et collaboratrices des milieux universitaire, socioéconomique et des affaires ont été créés et plusieurs ont perduré après l'expérience d'une édition Savoir Affaires. Dans certaines régions, un effet mobilisateur régional a persisté, de nouveaux mécanismes de rapprochement des milieux ont été mis en place et plusieurs autres projets de mobilisation et de collaboration entre les milieux, inspirés de Savoir Affaires, sont nés.
Augmentation de la capacité et de la culture d’innovation
En plus du désir d’innover qui a augmenté chez les personnes participantes, celles-ci ont développé plus d’intérêt pour les projets d’innovation, ainsi que le réflexe d’identifier des besoins et d’imaginer des solutions. Les personnes du milieu des affaires ont davantage pris conscience de l’importance de la multidisciplinarité des expertises, de la qualité et de la pertinence de la formation universitaire dans le développement de projets novateurs, jusqu’à doubler leur envie d’embaucher une personne finissante hautement qualifiée avec une maîtrise, un doctorat ou un postdoctorat. La protection de la propriété intellectuelle (licences et brevets) assumée par l’Université du Québec, relativement aux projets imaginés lors des Savoir Affaires, a quant à elle augmenté la crédibilité des promoteurs et promotrices auprès de futurs partenaires et investisseurs.
Amélioration de l’ancrage de la culture entrepreneuriale dans certaines régions
Le désir d’entreprendre et le niveau de connaissances générales de l’ensemble des participants et participantes (des milieux académique et des affaires) à propos des programmes d’aide et des ressources de soutien à l’entrepreneuriat ont augmenté. Plusieurs étudiantes et étudiants ont pu découvrir ou confirmer s’ils avaient une fibre entrepreneuriale. Presque la moitié d’entre eux a été stimulée à participer à d’autres activités à caractère entrepreneurial ou à s’inscrire à une formation en entrepreneuriat; certains ont même démarré leur propre entreprise. Des suites inspirées de Savoir Affaires ont été mises en œuvre dans certaines régions pour poursuivre les efforts d’ancrage de la culture d’entrepreneuriat dans leur milieu.
Autres répercussions positives mesurées
- Augmentation de la visibilité et du rayonnement des régions d’accueil, des universités hôtes et des établissements de l’Université du Québec.
- Développement de nouvelles offres de formation.
- Meilleure vision du rôle que les personnes étudiantes pourraient jouer, avec leur formation universitaire, dans la société.
- Ouverture d’esprit des personnes participantes régionales face au multiculturalisme et à l’importance du transfert de leurs connaissances à la relève.
- Augmentation du désir de participer des gens d’affaires.