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Nomination au Comité consultatif de la Stratégie canadienne de numérisation du patrimoine documentaire

Archiviste et muséologue à l’UQO, Patricia Forget siégera au Comité consultatif de la Stratégie canadienne de numérisation du patrimoine documentaire (SNPD) afin de contribuer à l’élaboration d’un nouveau plan d’activités visant à répondre aux besoins des bibliothèques, des archives et des musées à travers le Canada.

Les membres de ce comité doivent être issus d’organisations canadiennes publiques ou sans but lucratif dans le secteur « GLAM » (galeries, bibliothèques, archives et musées).

Mandat du Comité consultatif sur la SNPD

Les membres de ce comité proviennent de divers milieux : enseignement supérieur, musées et galeries, bibliothèques, ministères et diverses sociétés dédiées à la généalogie.
Le but ultime de la stratégie est de rendre accessibles les archives des diverses institutions au Canada, notamment via la numérisation des documents. Le SNPD envisage en effet un avenir où l’accès numérique au patrimoine documentaire du Canada est généralisé pour la culture, l’éducation, la recherche et l’innovation à l’échelle nationale.

En profitant des technologies numériques, les institutions de mémoire (les bibliothèques, les archives, les universités et les musées, etc.) peuvent donner un accès immédiat à leurs collections à un auditoire quasi illimité. Partout dans le monde, les institutions reconnaissent l’importance de mettre leurs collections en ligne et elles élaborent des stratégies visant à numériser leurs collections analogiques en collaborant entre elles, ainsi qu’avec des organismes sans but lucratif et le secteur privé.

La stratégie se penchera sur les éléments suivants :

  • concerter les efforts des institutions de mémoire en matière de numérisation à des fins de découverte, d’accès et de préservation;
  • déterminer les normes et les méthodes de travail fondées sur les meilleures pratiques qui peuvent être utilisées par les institutions de mémoire, de petite ou de grande taille;
  • partager les connaissances et l’expérience entre les partenaires;
  • protéger les ressources documentaires « à risque »;
  • jumeler les avantages de l’édition numérique et les approches liées à l’initiative de dernière copie;
  • éviter la duplication des efforts et des investissements;
  • faire connaître les possibilités de financement existantes et en susciter de nouvelles.

Source :
Service des communications
UQO, 22 avril 2021

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