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Projet Trait d’union : des repères pour mieux développer ses compétences interculturelles

L’Institut Jacques-Couture de l’Université TÉLUQ et le Groupe d’expertise pour le développement des cités interculturelles au Québec (GEDCIQ) dévoilent leur rapport de recherche Projet Trait d’union : Compétences interculturelles en action à l’occasion de la Semaine québécoise des rencontres interculturelles qui se déroule du 19 au 25 octobre.

Cette recherche, rendue possible grâce à la participation financière du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) dans le cadre d’un mandat confié au GEDCIQ, a été menée par sept chercheurs, dont cinq professeurs de l’Université TÉLUQ, sur une période d’environ un an. Au total, 85 intervenants des régions de Montréal, de Longueuil et de Laval, provenant de différents milieux tels que bibliothèques, bureaux de Services Québec, services de police, Service de sécurité incendie de Montréal et Urgences-santé ont participé à cette recherche.

« Le comité scientifique qui a guidé cette recherche, et subséquemment ce rapport, a accompli un travail colossal qui mérite d’être souligné. On y met en lumière les besoins des intervenants et professionnels de cinq secteurs de services publics afin de mettre en place une stratégie de développement de leurs compétences interculturelles en milieu de travail », a mentionné la directrice générale de l’Université TÉLUQ, Lucie Laflamme.

La directrice de l’Institut Jacques-Couture et professeure au Département Sciences humaines, Lettres et Communication, Angéline Martel, affirme pour sa part que «?cette recherche de terrain, complétée par une synthèse documentaire, donne principalement la parole aux intervenants afin de mieux comprendre les conditions dans lesquelles ils réalisent leur travail. Ultérieurement, il s’agit de concevoir, avec leur collaboration, des formations ou d’autres stratégies de développement qui permettront l’acquisition de compétences interculturelles et leur application dans des milieux de travail diversifiés? ».

D’ailleurs, pour le président du GEDCIQ, Gilles Rioux, « ce projet s'inscrit dans une démarche plus large visant à doter le secteur public d'une stratégie concertée de développement des compétences interculturelles et de pouvoir ainsi mieux répondre aux besoins d'une population de plus en plus
diversifiée ».

Accédez au rapport sur R-libre, le répertoire institutionnel de recherche de l’Université TÉLUQ.

Source :
Service des communications et des affaires publiques
TÉLUQ, 22 octobre 2020

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